MYSTERIEUX PÉTROGLYPHES DE SUCRE
Petroglyphes du Sahara – peintures de l’âge de pierre, realisees par des peuples primitifs dans la partie montagneuse du desert sur les rochers. Des images fantastiques d’esprits anciens, d’animaux sauvages, de scènes de chasse, de rituels de mariage, de danses sont devenues la principale source de connaissances sur sa population primitive. Certaines images rappellent tellement des extraterrestres en combinaison spatiale que la conclusion se suggère involontairement – dans les temps anciens, des representants d’autres mondes ont visite la Terre.
À l’epoque prehistorique, les gens ne parlaient pas par ecrit et utilisaient d’autres moyens de communication avec les generations futures. Partout dans le monde, des dessins graves dans la roche ont commence à apparaître. Parfois ils etaient separes par des millenaires, mais les dessins apparaissaient aux mêmes endroits, sur les mêmes rochers. Les chercheurs ont remarque une bizarrerie – certaines images sont equipees des mêmes attributs. Par exemple, les dieux sont necessairement equipes de rayons. Il semble que toutes les tribus aient vu la même chose.
Les petroglyphes du Sahara se trouvent dans les roches inaccessibles d’Egypte, de Namibie, du Soudan, de Libye, d’Algerie. En Namibie, il existe des dessins où 2 personnes sont assises en lotus et une est agenouillee par terre. Sur la droite, il y a une image etrange en forme d’araignee, semblable à un appareil technique. En Egypte, il y a une section de terrain où d’enormes pierres qui se sont detachees des rochers reposent dans un desordre chaotique et plus de 600 images y sont gravees, l’âge dont les scientifiques discutent encore. Parmi ces petroglyphes, il y a ceux crees il y a 10 000 ans et peut-être même plus.
Les dessins en Libye, à la frontière avec l’Algerie, sont particulièrement etonnants. Il y a deux des “musees” les plus celèbres des petroglyphes dans les chaînes de montagnes Akakus et l’oued Makhtandush (oued est un cours d’eau temporaire asseche, une vallee dans le desert). Les dessins les plus anciens peuvent être attribues à l’ère des chasseurs, ce sont des images de predateurs – lions, panthères, chats sauvages. Il y a aussi des images d’elephants, de rhinoceros, de crocodiles.
Les experts ont ete etonnes quand, passant le monde mort du desert brûle par le soleil, ils ont vu les messages des anciens sur les rochers. De plus, les dessins etaient si realistes qu’il semblait que les taureaux et les rhinoceros pouvaient s’elancer au loin.
Il y a de nombreuses scènes de la vie quotidienne sur les rochers : des hommes vont abattre des forêts avec des haches, des femmes cuisinent près des huttes de paille, des enfants en couvre-lits s’assoient par terre, une fille coupe les cheveux d’une autre. Les vêtements pour femmes se composent de pagnes et de nombreux ornements – perles sur le cou, pendentifs sur la poitrine, ceintures brodees, bracelets sur les bras, les genoux, les chevilles. Des articles menagers sont visibles dans les huttes – des paniers, des recipients en terre cuite.
A Akakus, un elephant en colère est capture, et très doue : les oreilles sont ecartees, les defenses sont exposees, la trompe est etendue vers l’avant. Face à lui, un rhinoceros s’est fige en position de combat, mais force est de constater qu’il est indecis.
Dans la vallee de Makhtandush, les peintures rupestres sont particulièrement bien conservees. Cela s’explique à la fois par les auvents rocheux en surplomb et par la technique d’execution. Ils sont fabriques avec des peintures à base de “pierre à colorier”. Les peintures etaient très probablement faites comme ceci : les pierres etaient broyees en poudre et melangees avec un astringent.
Au debut, les artistes primitifs n’utilisaient qu’une seule couleur, puis de l’ocre rouge etait ajoute à la peinture blanche, et après un certain temps, un fond gris bleuâtre est apparu. Les parcelles sont egalement assez variees. L’image d’une volee de lions est parfaitement conservee sur les rochers. Ils se faufilent à travers la plaine. Il y a des peintures representant des guerriers avec des lances et des massues. Sur l’un d’eux, un homme est assis à califourchon sur une girafe. Peut-être que les peuples primitifs ont essaye d’apprivoiser ces animaux ?
Au sommet des rochers près de la côte escarpee, des images de deux mètres de creatures dansant sur leurs pattes arrière ont ete trouvees : mi-humains, mi-animaux. Ils ont des yeux enfonces, des oreilles pointues, des queues et des rayures de fourrure le long de leur crête. Qui est-ce? Certains les voient danser des chats, d’autres elever des chèvres. Les guides pretendaient qu’ils etaient des genies.
Sur une autre photo, des petits hommes attaquent un enorme elephant. Fait interessant, pour de nombreux chasseurs, les têtes d’animaux s’elèvent au-dessus de leur front. Comme l’assurent les guides locaux, les anciens se sont deguises en essayant de se rapprocher des animaux poursuivis. Il existe egalement des images de personnes avec une tête d’animal portee sur le sommet de la tête et une queue attachee dans le dos. Apparemment, ce sont des sorciers qui tournent dans une danse magique.
Sur le plateau de Tosilianger en 1957, une expedition archeologique menee par Henri Locke a decouvert une immense galerie de tableaux de l’âge de pierre, vieille d’au moins 8 000 ans. Quinze mille dessins ornaient les rochers. Ce sont des scènes de chasse aux girafes, aux elephants et aux buffles, des bateaux flottants, des rituels mysterieux.
Mais certaines des peintures ont choque les scientifiques. Ce sont des images de personnes ou de creatures fantastiques. Les gens semblent porter des combinaisons spatiales avec des casques sur la tête, et la tête semble être 3 fois plus grosse que le corps. Il y a un double ovale au centre du casque et un col avec des plis horizontaux en bas, au niveau du cou. La plus grande figure a une hauteur de 8 mètres et elle a ete nommee – “Le Grand Dieu des Martiens”.
Il semble que les peuples anciens aient eu une influence monstrueuse sur un evenement qui s’est produit sur la planète plusieurs milliers
il y a des annees. Cependant, les sceptiques pensent que sur la tête de “l’astronaute” il n’y a pas un casque, mais un masque rituel rond, et que son corps n’est pas entièrement trace, ce qui le fait ressembler à une combinaison spatiale. Mais comment expliquer le fait que des images similaires aient ete retrouvees sur d’autres continents ?
Plusieurs annees passèrent après la decouverte et Henri Locke reçut un colis par la poste. Après l’avoir ouvert, le scientifique a ete stupefait : à l’interieur il y avait plusieurs photos avec le “grand dieu des martiens”, mais ce n’etaient pas des peintures rupestres du Sahara. La première photo est celle d’une sculpture trouvee sur l’île japonaise de Honshu. Le même casque et la même combinaison spatiale. La sculpture a 8 000 ans, c’est-à-dire la même chose que les dessins du plateau de Tosilianzher. Une autre photo montrait à nouveau une image similaire, mais cette fois de l’île de Pâques. Ainsi, à des distances gigantesques les uns des autres, à peu près au même moment, les peuples anciens ont sculpte des images sur les rochers qui ressemblaient à des personnes en scaphandre !
Les derniers petroglyphes du Sahara libyen ont ete realises au Ve siècle après JC, à l’epoque de « l’ère des chameaux ». Sur eux, avec des chameaux, il y a des images de chevaux et de charrettes.