TUNNELS SOUTERRAINS ET VILLES D’AMÉRIQUE DU SUD ET LA Lueur mysterieuse au-dessus d’eux

Si l’existence des pays souterrains d’Agartha, Shambhala et des habitations des Vievichs sous les montagnes de l’Oural et du Caucase repose principalement sur des donnees folkloriques, alors d’autres labyrinthes souterrains ont ete visites par differents chercheurs. Ceux-ci incluent des complexes de vides naturels et artificiels au Perou, en Équateur, en Bolivie et au Chili, dans les îles de Pâques, en Antarctique et dans de nombreux autres endroits.
Le conquistador espagnol Francisco Pizarro, qui a conquis les terres des Incas dans les annees 30 du XVIe siècle, dans son rapport au roi espagnol, a declare avoir decouvert les entrees de tunnels souterrains situes sur Guascaran (Perou), la montagne sacree de les Incas, à une altitude de 3,8 km au-dessus du niveau de la mer. Ils etaient recouverts de dalles de pierre geantes. L’histoire est muette quant à savoir si Pizarro a pu entrer dans les tunnels et ce qu’il y a vu.
Le chroniqueur espagnol Cristobal de Molina, arrive avec les conquistadors en Amerique du Sud, a raconte la legende de la population indienne indigène sur le Père tout-puissant de l’humanite vivant dans le monde souterrain. Ayant acheve l’acte de tout creer sur Terre, Dieu entra dans son monde.
Les legendes sur un vaste système de tunnels souterrains et de villes sous les Andes, habitees par une sorte de creatures mysterieuses, sont courantes chez de nombreux peuples d’Amerique du Sud. Selon ces legendes, le royaume souterrain peut être entre par des entrees situees dans les anciennes villes de Saxahuaman au Perou et Tiahuanaco en Bolivie. Le chroniqueur des moines jesuites, Agnelio Oliva, a parle de l’ancienne ecriture nouee des Incas, qui affirmait que la vraie Tiahuanaco etait une ville souterraine, beaucoup plus grande que ses superstructures de surface.
Les legendes sur les vastes donjons d’Amerique du Sud sont etroitement liees aux histoires de paysans, de voyageurs et de chercheurs d’or à propos d’une etrange lueur appelee “la lus del dinero” ou “lumière de l’argent”. Ce phenomène, observe dans les hautes terres arides et desertiques des Andes, au Perou, en Équateur, en Bolivie et même au Mexique, la science ne peut pas encore l’expliquer. La lueur se produit le plus souvent au crepuscule. Dans son livre Les cites perdues d’Amerique du Sud, G. Wilkins cite l’histoire de chasseurs de tresors qui « un soir, alors que le soleil se couchait dans son berceau oceanique, derrière les murs inaccessibles des chaînes de montagnes, et que les etoiles s’illuminaient dans la bleu ciel profond, ils ont vu une etrange lueur blanchâtre ou vert pâle qui plane au-dessus du sol rocheux. Au crepuscule ou dans l’obscurite, ces lumières mysterieuses glissaient parfois comme un serpent le long de la route. Et parfois, ils se tenaient en place, comme si les colonnes de l’ancien temple inca du Soleil, ou prenaient la forme de quelques arbres tropicaux »***.
Le candidat aux sciences historiques Yuri Zubriciy, qui a observe cette lueur en 1971, a ecrit que la lumière etait limitee par des barrières invisibles, comme si elle etait enfermee dans une pièce mesurant 7 à 8 000 mètres carres. Mais la source lumineuse elle-même n’etait pas visible.
Dans les legendes des Indiens Quechua, il est dit qu’un tel rougeoiement se produit au-dessus des donjons, dans lesquels les tresors sont caches. Leur emplacement est indique par de mysterieux hieroglyphes, dont la « cle » de comprehension n’est possedee que par un seul descendant de l’Inca à chaque generation.
Selon Wilkins, vers 1844, un prêtre catholique âge fut appele à confesser un Quechua mourant (un descendant direct de l’Inca peruvien). L’Indien lui raconta le secret des labyrinthes et des tunnels etonnants qui appartenaient à des temps bien plus anciens que les empereurs Soleil Incas.
Le vieux prêtre n’a pas garde le secret de la confession et, sous hypnose, en a parle à un certain Italien. Il a egalement ajoute que vers 1830, des rumeurs d’un mysterieux tunnel plein de tresors sont parvenues aux oreilles des autorites peruviennes, qui ont envoye des eclaireurs pour trouver l’entree cachee. Ces eclaireurs se sont presentes comme des scientifiques et des archeologues. Mais ils sont rentres à Lima et à La Paz les mains vides.
Entre 1848 et 1850 E. Blavatskaya a voyage à travers le Perou. A Lima, elle reussit à rencontrer le très italien qui força le prêtre à percer le secret de la confession. L’Italien a dit qu’il avait dejà visite où, croyait-il, se trouvait l’entree de la “grotte d’Aladin” et le mysterieux labyrinthe des anciens rois, qu’Herodote a vu sur le lac Merida, sur le Nil occidental.
Blavatsky a ecrit dans ses memoires que vous pouvez decouvrir le secret des tunnels et en trouver l’entree en devoilant des signes mystiques, invisibles jusqu’à ce que les rayons du soleil tombent sur eux sous un certain angle. L’une des entrees du tunnel est situee près de l’ancienne Cusco, mais elle est “très bien camouflee”. Ce passage secret mène directement au grand souterrain, qui s’etend de Cuzco à Lima, à une distance d’environ 600 km. Puis le tunnel geant tourne vers le sud et s’etend sur 1 500 km sous la Bolivie et le Chili.
Les anciens ingenieurs ont cree des portes intelligemment conçues, composees de deux enormes blocs de pierre sculptee, qui pouvaient tourner et se fermer si etroitement qu’aucun ecart n’etait perceptible à la jonction. L’une de ces portes ferme l’entree de la branche du tunnel menant à Lima, l’autre – dans le grand tunnel de l’extremite bolivienne. Ce tunnel maintenant au Chili passe par Taranaca et Cobijo. Puis il tourne

Il se dirige vers l’est, passe sous les montagnes et se perd dans le desert des marais salants d’Atacama.
Vers 1850, alors que le port de Cobijo appartenait encore à la Bolivie, son gouvernement envoya des agents secrets à la recherche du mysterieux tunnel. Mais cette fois aussi, ils ont echoue.

Tunnels souterrains et tresors decouverts par Juan Moritz

Selon la declaration de l’ethnographe et collectionneur d’antiquites argentin Juan Moritz, certifiee le 21 juillet 1969 par un notaire à Guayaquil (Équateur), un système inconnu de tunnels souterrains et de puits de ventilation d’une longueur totale de centaines de kilomètres. Dans un communique, Moritz a indique avoir fait cette decouverte en etudiant le folklore des tribus equatoriennes. Les details de la decouverte ont ete presentes dans les livres d’Erich von Deniken « L’or des dieux. Des extraterrestres parmi nous “et” Semer dans l’espace “et” Tous les miracles dans un livre “de H. Hefling et à l’avenir ont ete repetes à plusieurs reprises par d’autres auteurs.
Un jour, Moritz, faisant ses recherches habituelles, tomba par hasard sur l’entree des galeries souterraines. Cela s’est passe en juin 1965, sur le territoire delimite par les villes de Galakviz – San Antonio – Yopi. Moritz est reste silencieux pendant trois ans. Et ce n’est qu’au printemps 1968, « après avoir parcouru de nombreux kilomètres de tunnels et rassemble une importante collection d’objets etonnants », qu’il a decide de demander une audience au president de l’Équateur, Velasco Ibarra. Le president ne l’a pas accepte, puis Moritz a ecrit une declaration avec une demande de nommer une commission speciale qui pourrait verifier et evaluer sa “decouverte si importante”. A son tour, il s’est engage “à informer la commission de l’emplacement exact des tunnels qu’il a etudies jusqu’à present et à lui fournir les elements decouverts”. Il a certifie cette declaration chez le notaire.
Selon les informations fournies par divers auteurs, l’entree du système de tunnels decouvert par Moritz ressemblait à une coupe nette dans la roche, de la taille d’une porte de grange. La descente le long d’un système de puits verticaux et de plates-formes horizontales situees les unes au-dessous des autres se terminait à une profondeur de 230 ou 240 m. Il y avait de nombreuses entrees vers des tunnels rectangulaires de differentes largeurs avec des murs et des plafonds parfaitement plats et apparemment polis. Des branches laterales et des conduits d’aeration d’un diamètre d’environ 70 cm partaient des tunnels principaux à angle droit.Il y avait pas mal de salles de la taille d’une salle de concert. Au centre d’une de ces salles, haute de 150 m, il y avait une structure comme une table et sept trônes faits d’un materiau inconnu semblable au plastique.
Ce qui suit s’apparente plus à un roman policier qu’à un rapport scientifique. En grande partie en raison du fait que von Deniken declare dans ses livres qu’il a ete directement implique dans l’expedition dans les tunnels souterrains dans le cadre de H. Moritz, son avocat le Dr Peña et son assistant (Deniken) Franz Seiner et a vu tout ce qu’il a dit sur dans mes livres, personnellement. Et Moritz a affirme qu’il ne les avait amenes qu’à l’entree des cachots, dans lesquels E. von Deniken n’etait jamais descendu.
Celui d’entre eux s’avère être juste, l’essence de la question ne change pas. Près de la place du “trône” ont ete trouvees des figurines en fonte d’or de lezards fossiles, d’elephants, de crocodiles, de lions, de chameaux, de bisons, d’ours, de singes, de loups, de jaguars et même de crabes et d’escargots. Dans la même pièce se trouvait une “bibliothèque” de plusieurs milliers de plaques de metal gaufre mesurant 96 × 48 cm avec des signes graves ou estampes, que Juan Moritz considerait comme des “propheties historiques d’une civilisation disparue”. Il leur a accorde une attention particulière dans son message au president. Moritz aurait même trouve une “amulette” en pierre mesurant 11 × 6 cm representant une figurine d’un homme debout sur un globe.
Il a egalement trouve des dessins sous terre, sculptes ou enfonces dans le sol. L’une de ces figurines au sol avait un corps rectangulaire et une tête ronde. “Il” se tenait sur une boule-globe et tenait dans ses “mains” la lune et le soleil. Une autre figure gravee dans la pierre representait un dinosaure.
Dans les tunnels et les salles examines, des disques et des plaques d’or avec divers motifs et symboles ont ete trouves. Des centaines de plaques decouvertes etaient gravees d’images de pyramides adjacentes à des cerfs-volants volant dans le ciel.
Plus tard, Moritz a commence à nier l’existence de plusieurs de ses trouvailles. En particulier, des figurines d’une personne debout sur un globe.
La decouverte de Moritz a fait beaucoup de bruit, et les magazines allemands Der Spiegel et Stern l’ont realisee en 1972 et 1973. leurs enquêtes à ce sujet. Il a ete revele que von Deniken n’est jamais descendu dans les galeries et les salles souterraines, et la plupart de ce qu’il a ecrit à leur sujet dans ses livres n’est pas vrai. Moritz lui-même n’a explore qu’une petite partie des donjons. Il ne savait pas non plus si toutes les figurines qu’il avait trouvees etaient en or. Mais le fait que des tunnels souterrains existent, et que Moritz y soit descendu, semblait vrai.
Le directeur de l’Institut archeologique de Quito, Hernan Crespo Toral, a traite Juan Moritz de voyou et d’aventurier. Il a dit qu’il accepterait volontiers dans son

e Musee des fabuleux livres de metal et des bêtes dorees, si Moritz les y avait amenes. « Mais comment ce « decouvreur » peut-il livrer des tresors qui n’existent pas vraiment ? »
Mais est-ce?
Le fait que Moritz n’ait jamais ete dans des tunnels souterrains semble être atteste par l’absence de photographies des tresors qu’il decrit. Cette hypothèse est egalement etayee par le fait que le producteur americain James Mobley lui a offert 500 000 dollars pour montrer l’entree des grottes et mille dollars pour chaque jour de tournage – le montant demande par Moritz lui-même. Mais il refusa toujours cette offre.
Ou peut-être Moritz a-t-il quand même reussi à rencontrer le president de l’Équateur et à recevoir pour information sur les galeries souterraines, et en même temps le silence à leur sujet, une genereuse recompense, depassant de loin le montant indique ? Cela n’explique-t-il pas l’incoherence de son temoignage et la reticence à retourner dans les cachots ? Après tout, voyez-vous, l’histoire connaît de nombreux cas de ce genre.

Autres tunnels souterrains en Amerique du Sud et au Mexique

Tunnel souterrain dans la region de Los Tayos

Yevgeny Vorobiev, candidat aux sciences geologiques et mineralogiques, a declare *** qu’en 1976, une expedition conjointe anglo-equatorienne a examine l’un des tunnels souterrains de la region de Los Tayos, à la frontière du Perou et de l’Équateur. Là aussi, on a trouve une pièce où se trouvait une table entouree de chaises avec des dossiers de plus de deux mètres de haut, faites d’un materiau inconnu. Une autre pièce etait un long couloir avec un passage etroit au milieu. Le long de ses murs se trouvaient des etagères avec des livres anciens, des folios epais – environ 400 pages chacun. Les feuilles de volumes d’or massif etaient remplies d’une police incomprehensible.
Malheureusement, je n’ai pas rencontre d’autres rapports similaires sur cette expedition, mais j’ai trouve des articles dans le “Journal interessant” et sur plusieurs sites Internet, qui indiquaient que le 3 août 1976, une expedition equatorienne-britannique composee de scientifiques et de voyageurs ecossais Stanley Hall, Stephen Coppens et notre celèbre Juan Moritz sont descendus dans la grotte Cueva de los Tayos. De plus, il etait dirige par nul autre que Neil Armstrong, le premier astronaute à avoir pose le pied sur la surface lunaire. L’expedition a decouvert une grotte funeraire avec un corps assis, mais elle n’a pas reussi à atteindre les salles du stockage principal des livres.
Ce n’etait peut-être pas l’expedition dont parle Vorobyov. Bien que peu probable. Les dates, le lieu et la composition des participants des deux expeditions coïncident trop clairement. Ou peut-être que les chercheurs ont decide de ne pas rendre leurs decouvertes publiques et que des informations à leur sujet ont ete divulguees par le biais de sources confidentielles que Vorobiev pourrait accidentellement decouvrir ?

Tunnel souterrain près de la rivière Rio Sinzhu

Si la decouverte de structures souterraines par Juan Moritz a immediatement suscite le rejet de la plupart des scientifiques et que la decouverte de tunnels souterrains dans la region de Los Tayos ne peut être consideree comme prouvee, alors l’existence d’un tunnel souterrain de plus de 90 km de long dans la region du fleuve Rio Sinzhu semble être confirme par les speleologues et les archeologues. Mais je ne me permets pas d’en parler en toute confiance, car les informations sur la decouverte cette fois-ci sont donnees sans preciser de nombreux details importants : les noms du chef et des participants de l’expedition, le lieu et l’heure exacts de l’expedition, les noms des instituts scientifiques qui y ont participe. etc.)
Selon Sergei Mikhailov *** et Alexey Slepukhin ***, l’histoire de cette decouverte est la suivante.
En 1991, un groupe de speleologues peruviens a organise une expedition dans la region du fleuve. Ryu Sinju. Là, dans la jungle accidentee, il y avait un système de grottes souterraines peu explorees jusqu’à 300 m de profondeur.
En 1925, l’expedition du colonel anglais Percy Fawcett disparut dans cette zone, qui l’explorait depuis plusieurs annees sur les instructions de la Royal Geographical Society anglaise. Selon Fawcett, une tribu sauvage de personnes à la peau claire vivait ici dans des grottes souterraines.
Les speleologues ont reussi à trouver les entrees des grottes et à y descendre. A 70 m de profondeur, une enorme dalle de pierre leur barrait le chemin. La surface de la dalle, contrairement aux parois environnantes de la grotte, etait très lisse, ce qui indiquait son origine artificielle. À l’aide d’un treuil, la dalle a ete deplacee de sa place. Il s’est avere qu’il tournait autour de boules de pierre qui agissaient comme des charnières de porte.
Derrière la dalle se trouvait un long tunnel descendant à un angle de 14º. Les chercheurs l’ont eclaire avec des projecteurs. Le sol du couloir souterrain etait pave de petites dalles qui s’emboîtaient exactement les unes dans les autres. A la surface des dalles le long des parois, les speleologues ont vu deux gouttières creusees. Les roues d’un chariot charge, semblables à celles sur lesquelles le charbon est extrait des galeries des mines, pouvaient rouler dessus. Chaque dalle etait ornee d’une image sculptee d’un oiseau ressemblant à un paon.
En 1991, les speleologues n’atteignirent pas le bout du tunnel. Cependant, des rapports faisant etat de la decouverte d’une mysterieuse structure souterraine ont interesse des scientifiques du monde entier. En 1995, une expedition internationale est organisee pour poursuivre son etude. Il a ete suivi par des speleologues, des historiens et des archeologues de l’epoque

des pays. Au cours des travaux, les scientifiques ont decouvert que le tunnel souterrain s’etend sur 90 kilomètres et passe sous la mer – au bout de celui-ci, une grotte d’eau salee a ete trouvee et le niveau de cette “pièce” etait à 10 mètres sous le niveau de la mer. Il n’a pas ete possible de savoir où le tunnel allait plus loin.
Les membres de l’expedition ont conclu que pour construire une telle structure, il fallait des connaissances inaccessibles aux habitants de l’ancien Perou. L’epoque anterieure de la construction du tunnel peut être confirmee par les images sur les dalles d’oiseaux ressemblant à des paons, que l’on ne trouve chez aucun des peuples d’Amerique du Sud, tant anciens que modernes.
Le chercheur peruvien des anciennes cultures d’Amerique du Sud Jorge Perez a suggere que le tunnel aurait pu être construit par les constructeurs de Tiahuanaco et d’autres monuments megalithiques. Et ils, comme je l’ai dejà dit, ont ete construits il y a plus de 12 000 ans.
En 1998, une autre expedition dans les grottes souterraines a ete equipee. Cette fois, les chercheurs etaient dans une deception totale. Un effondrement s’est produit dans les grottes, et l’accès à l’entree du tunnel a ete recouvert d’une enorme masse de pierres.

Tunnel souterrain dans la region de Cusco
La bibliothèque universitaire de Cuzco contient un recit de la catastrophe qui a frappe un groupe de sept chercheurs de France et des États-Unis en 1952. Aux alentours de la ville, ils trouvèrent l’entree du donjon et y descendirent. Ne prevoyant pas de rester, les chercheurs n’ont emporte de la nourriture avec eux que cinq jours… Sur les sept membres de l’expedition, seul le Français Philippe Lamontière a remonte à la surface, puis 15 jours plus tard. Il etait emacie, souffrait de trous de memoire et a ete infecte par la peste bubonique. Lamontière disait que ses compagnons tombaient dans un abîme sans fond.
Les autorites, craignant la propagation de la peste, ont pose l’entree du donjon avec une dalle en beton arme. Le Français est decede quelques jours plus tard. Il lui resta un epi de maïs d’or pur, avec lequel il revint de terre. Aujourd’hui, cette decouverte est conservee au Musee d’archeologie de Cuzco.
Le chercheur en civilisation inca, le Dr Raul Rios Centeno, a tente de repeter l’itineraire de l’expedition disparue. Un groupe de six specialistes est entre dans le donjon par la salle sous la tombe dans un temple delabre, situe à quelques kilomètres de Cusco. Ils marchèrent le long d’un long couloir qui se retrecissait progressivement qui ressemblait à un tuyau de ventilation. De manière inattendue, les chercheurs ont remarque que les parois du tunnel cessaient de reflechir les rayons infrarouges. A l’aide d’un spectrographe (selon d’autres informations, un radiofiltre), ils ont determine qu’ils contenaient une grande quantite d’aluminium. Les scientifiques ont essaye de prelever un echantillon, mais le placage etait si solide qu’aucun instrument ne pouvait le prelever. Pendant ce temps, le tunnel se retrecissait, et lorsque son diamètre (ou hauteur) diminuait à 90 cm, le groupe n’avait d’autre choix que de rebrousser chemin. Le Dr Centeno n’a pas ete autorise à repeter d’autres recherches, bien qu’il ait demande aux plus hautes autorites de l’État.

Chinkanas
En Amerique du Sud, il existe des grottes ou des tunnels encore plus etonnants et pratiquement inexplores relies par des passages complexes sans fin – les soi-disant chinkanas. Les legendes des Indiens Hopi disent que les humains-serpents vivent dans leurs profondeurs. Sur ordre des autorites, toutes les entrees y sont fermees hermetiquement par des barreaux : des dizaines de personnes ont dejà disparu sans laisser de trace dans les chinkanas. Certains ont essaye d’entrer dans les grottes par curiosite, d’autres dans l’espoir de trouver les tresors incas. Peu ont reussi à en sortir, et même ceux-ci, semble-t-il, ont ete endommages par la raison, car, selon leurs recits, dans les profondeurs de la Terre, ils ont rencontre d’etranges creatures qui ressemblaient à la fois à un homme et à un serpent. .

Anciennes exploitations minières au Chili

Vorobiev a raconte *** à propos d’une decouverte etonnante faite au Chili. En novembre 1972, à l’invitation du gouvernement de S. Allende, une expedition complexe sovietique arriva dans ce pays avec les experts miniers Nikolai Popov et Efim Chubarin. Ils devaient decouvrir la possibilite de reprendre l’extraction du cuivre dans les anciennes mines.

L’exploration a commence dans un champ abandonne depuis longtemps situe à 40 km de la ville de Chichuan. Après avoir degage l’entree entassee dans la mine, Popov et Chubarin ont marche plusieurs dizaines de mètres et ont trouve un passage descendant à un angle de 30⁰ (selon d’autres sources, 10⁰). Après environ 80 m, ils se sont retrouves dans une mine, riche en filons de cuivre, s’etirant vers le bas. Les mineurs ont ete etonnes de voir que le developpement etait dejà realise en utilisant les methodes les plus avancees – les steriles sont restes intacts, sans glissements de terrain ni debris.
La civilisation souterraine du Nevada de Cachi ?

Svetlana Anina et E. Vorobiev ont declare *** que le 24 mai 2003, des chercheurs de l’Institut chilien de recherche en biophysique (FICI), dont le siège est à La Matanza (Argentine), Omar Hesse et Jorge Millstein ont rencontre un phenomène inhabituel. Ils ont enregistre “des traces de rayonnement radioactif, de micro-ondes, de signaux electriques d’un certain niveau et de vibrations emanant d’en bas, du sous-sol”. Cela s’est produit sur la section argentine des Andes, s’etendant de La Poma à Caiafate ned

aleco du mont Nevado de Cachi – à une altitude de 2,3 km au-dessus du niveau de la mer.
Les chercheurs ont conclu que les signaux provenaient probablement d’une sorte de machines ou de mecanismes profondement souterrains. “Les vibrations montrent clairement qu’une certaine activite a lieu à quelques kilomètres de la surface de la terre : des ondes electriques alternees indiquent la presence d’une source d’energie”, a declare Hesse. “Cela pourrait signifier qu’il y a des moteurs là-bas.”
A ce qui a ete dit, il faut ajouter que la zone de travail n’a pas ete choisie par l’institut par hasard : le grimpeur Antonio Zuleta a pointe cette zone. Sur les quatre bandes video qu’il a tournees, d’etranges lumières se deplaçant rapidement etaient visibles, qui « plongaient » dans le sol à cet endroit precis. “Nous allons devoir revenir ici avec des instruments et des profondeurs de sonde plus sensibles”, a declare Millstein. « Ensuite, nous pourrons obtenir des donnees plus precises. »
Ce qui s’est passe ensuite m’est inconnu. Mais, à en juger par les publications disponibles, cette decouverte n’a pas fait une forte impression sur les membres de la FICI : ils savaient bien que le Nevado de Cachi est l’une des regions d’activite ovni maximale, attirant des chercheurs du monde entier. “Pour ceux d’entre nous qui savent que les avions peuvent facilement penetrer dans la Terre, rien de nouveau n’a ete decouvert dans les Andes, d’autant plus qu’il existe dejà une masse de faits – de l’Équateur à Mendoza”, ont declare des personnes de la FICI.

Tunnels souterrains au Guatemala et au Mexique

L’ecrivain espagnol Francisco Antonio Fuentes y Guzman (1642-1690), qui a ecrit une histoire inedite du Guatemala à la fin du XVIIe siècle, a parle des tunnels souterrains decouverts par les conquistadors dans ce pays, qui etaient autrefois habites par un inconnu et personnes disparues depuis longtemps. Il a ecrit:
« Un magnifique tunnel (donjon), fortifie par un ciment merveilleusement resistant et solide, descend sous terre sur neuf lieues jusqu’au village de Teclan au Guatemala. C’est la preuve du pouvoir des anciens rois et de leurs vassaux. »
Dans son livre “Secrets of the Underworld” (2006) A.I. Voitsekhovsky a parle de la mysterieuse grotte de Sotano de las Golondrinas au Mexique. Sa profondeur est de plus d’un kilomètre, sa largeur de plusieurs centaines de mètres. C’est un veritable abîme, dont les parois abruptes sont absolument planes et lisses. Au fond de la grotte se trouve tout un labyrinthe de differentes pièces, passages et tunnels, divergeant dans differentes directions.